Aujourd’hui, je m’adresse à toi.
À toi qui te bats sans relâche, sans que personne ne voie toujours l’étendue de ton courage.
À toi qui portes ta douleur comme une armure invisible.
Je sais ce que c’est.
Je sais ce que c’est que de se relever quand le corps hurle de rester à terre.
Je sais ce que c’est que de sourire quand l’âme est fatiguée.
Je sais ce que c’est que de croire, même quand tout vacille.
Et même si chaque geste est un effort, même si chaque jour est un combat,
je choisis de croire que cette épreuve ne me détruit pas — elle me façonne.
Elle sculpte en moi une force nouvelle, une résilience que rien ni personne ne pourra m’enlever.
Je tombe. Parfois lourdement.
Mais je me relève. Toujours.
Parce que je suis bien plus forte que la douleur, plus grande que mes cicatrices.
À tous ceux qui traversent l’ombre :
Je vous vois. Je vous comprends. Et je vous admire.
Ne lâchez rien.
Vous n’êtes pas seuls.
Votre lumière est encore là, même derrière les tempêtes.
Et moi, je reviendrai.
Plus forte. Plus vivante. Plus libre.
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